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Photo du rédacteurJulie MAURICE

Le stress , notre organisme et leurs impacts, explications...

Dernière mise à jour : 5 mars




Le stress touche tout le monde et touche même les personnes non "stréssées"; chacun vivra des situations de stress quelqu’il soit (positif ou négatif). Il apparaît suite à une pression psychologique, physique ou émotionnelle et correspond à une réaction de l’organisme pour faire face à certaines situations.


Il s'organise en 3 phases : alarme, résistance et épuisement.


Les effets du stress se manifestent par des symptômes psychiques et physiques qui évoluent suivent l'intensité et la durée du stress et notre propre vulnérabilité à celui-ci :

Signes physiques : palpitations, difficultés à respirer, sensation d'oppression, vertiges, sécheresse de la bouche, bouffées de chaleur, tremblements, troubles de l'appétit, nausées, vomissements, diarrhées, transpiration...

Signes psychiques : inquiétudes, anxiété, agitation, ruminations mentales, peurs, hypervigilance, ou au contraire apathie, irritabilité, troubles de la concentration et de la mémoire, pessimisme, tendance aux addictions...


Lorsque le stress passe à la chronicité (phase de résistance et d'épuisement), des signes physiques et/ou psychiques plus graves apparaissent : crispations ou contractures permanentes, troubles du rythme cardiaque, hypertension, ulcères digestifs, maladies inflammatoires chroniques de l'intestin, insomnies, troubles immunitaires, candidoses à répétition, dermatoses (eczéma, psoriasis...), céphalées, dépression, troubles de la libido, burn-out...

Le stress impacte nos différents systèmes et notre organisme, tout est inter-relié, nos systèmes sont tous interconnectés. Lors de phase de stress, notre système hypotalamo-hypophysaire et surrénalien est sur-stimulé.



Le stress, un mécanisme cellulaire et neuro-hormonal

Le stress est un mécanisme d'adaptation de notre organisme. Le stress qui s'extériorisera sera révélateur du stress que nous contenons à l'intérieur de nous-même...



Le « mauvais » stress impacte le corps puisqu'il nous fait quitter notre zone de confort et/ou zone de risque pour nous faire entrer dans la zone de danger. Toutefois, ce n'est pas tant l'agent stressant ou agresseur en lui-même qui est pathogène, que nos ressentis et les réactions du corps vis à vis de la situation et de cette agression.

La réponse à l'événement stressant se traduit physiologiquement par toute une série de mécanismes destinés à maintenir l'équilibre biologique (appelé homéostasie) du corps. Cette capacité adaptative de l'organisme est médiatisée par la voie nerveuse (système parasympathique) et la voie hormonale (hypothalamus, hypophyse et glandes surrénales).


Nous passons notre vie à "surstimuler" nos glandes surrénales et donc notre taux de cortisol (cortisone, notre anti-inflammatoire naturel) au travers de notre respiration, notre alimentation, nos émotions, les évènements ressentis...

Notre cerveau reptilien (de survie) réagira et s'activera lors d'un danger potentiel; un danger qui deviendra alors "permanent" et induira donc une chronicité : c'est l'hypercortisolémie (hausse du cortisol dans le sang). Par conséquent, cette hypercortisolémie induira bon nombres d'inflammations dans notre organisme (maladies en -ite : pharyngite , bronchite, tendinite...) et un épuisement qui nous grignotera à petit.

Selon le Dr Etienne Emile BEAULIEU (endocrinologue), cette hypercortisolémie serait responsable de 95% des cancers et des infarctus actuellement diagnostiqués à travers la monde.




Les leviers pour abaisser notre taux de cortisol : la respiration, l'alimentation, l'hydratation et la gestion des émotions

Fondamentalement, l'Homme a des besoins dits "physiologiques" que sont manger, dormir, s'hydrater et respirer. Notre corps doit s'équiper de bonnes ressources pour être en bonne vitalité et se battre contre tout ces stress.

La respiration

Selon Sylvère CARON (thérapeute bien-être, kinésithérapeute de métier, conférencier et ostéopathe), 95% de la population occidentale adoptent une respiration dite "paradoxale" (respiration "inversée") en respirant avec le ventre et non avec le diaphragme. Nous respirons généralement par automatisme via notre système nerveux neuro-végétatif.

La respiration paradoxale représente exactement l'inverse de la respiration diaphragmatique. C'est une respiration costale, où les côtes s'ouvrent à tel point que le poumon, étiré par cette sur-ouverture des côtes, répercute ceci en remontant sa base et attire ainsi la base abdominale à lui. Dans cette situation, le diaphragme est toujours sous tension (coupole diaphragmatique tendue) et viendra appuyer sur nos reins et donc impactera nos glandes surrénales (sécrétant notre cortisol).

Il faudra alors adopter une respiration diaphragmatique pour lutter contre le stress et, in fine, se reprogrammer (par la respiration neuro-corticale) pour éviter cette respiration naturelle paradoxale et revenir à une respiration de pleine conscience au moment présent.


L'alimentation

Nous passons notre vie à créer du "stress cellulaire" via l'acidification de nos cellules apportée par une alimentation industrialisée, polluée ou dénutrie.

L'index glycémique (ou indice glycémique) est un critère de classement des aliments contenant des glucides, basé sur leurs effets sur la glycémie (c'est-à-dire le taux de glucose dans le sang): ces indices sont important à prendre en compte car ces aliments vont surstimuler l'insuline et induirons alors régulièrement des hypoglycémies réactionnelles. Plus l'index des aliments est élevé, plus les aliments entraînent une hausse rapide du taux de sucre. En effet, cela provoque aussitôt une forte sécrétion d’insuline, dont le rôle est de faire baisser le taux de sucre. Cet état induira un stress à notre organisme et fera également sécrété du cortisol sans même que nous nous en rendions compte.

Prenons l’exemple d’une céréale, disons le blé. Plus le grain de blé est moulu finement, plus son index glycémique augmente. C’est pourquoi le pain de blé, fait d’une fine farine, fait plus augmenter le taux de sucre sanguin (et le stockage des graisses) que les pâtes, faites de semoule, un grain moulu plus grossièrement. De même, la farine raffinée possède un index glycémique plus élevé que la farine entière. Enfin, un traitement industriel comme la précuisson, élève aussi l’index glycémique d’une céréale.

Mentionnons également que diverses variétés d’un même aliment ou le cru/cuit peuvent posséder des index glycémiques différents : par exemple la carotte crue aura un index glycémique beaucoup plus bas (IG à 16) que la carotte cuite (IG à 47).

Le sucre est acidifiant pour notre organisme et nos produits industrialisés actuels de grande consommation nous fait baigner de façon permanente aujourd'hui dans le glucose au quotidien et toute la journée, et sans même s'en rendre compte...


De plus, l'équilibre acido-basique est également essentiel : c'est une notion importante et essentielle au maintien d'un état de santé optimale et en grande partie liée à la qualité de notre alimentation, en particulier pour prévenir l'ostéoporose, les troubles ostéo-tendineux, les inflammations et la fatigue chronique. Soumis à de nombreux facteurs environnementaux, le pH du corps humain est constamment bousculé par notre mode de vie moderne et par notre alimentation. L’équilibre acido-basique, ou homéostasie du pH, est la balance entre le taux d’acidité et le taux d’alcalinité du corps humain. C’est une fonction essentielle de l’organisme, qui consiste en la régulation de son pH sanguin et tissulaire. Un pH corporel équilibré se situe dans une fourchette assez serrée autour de 7. En dessous, on parle d’acidose, et au-delà, d’alcalose. L’idéal est d’avoir un pH légèrement alcalin, autour de 7,4. Les facteurs de déséquilibre acido-basique sont nombreux: stress, surmenage, mode de vie, pollution, même si le plus souvent, c’est l’alimentation qui sera en cause. Si l’alcalose peut être causée par des vomissements à répétition, un excès de bicarbonate, ou encore la consommation de diurétiques, l’acidose est beaucoup plus fréquente. Ce trop-plein d’acidité dans le corps est due en grande partie à une consommation excessive d’aliments acidifiants.


L'hydratation

Notre corps est composé d'environ 75% d'eau et nos cellules y baignent en permanence... Il faut savoir que la qualité de l'eau que l'on consomme au quotidien déterminera la qualité des flux liquidiens de notre organisme.

L'eau que l'on consomme va se transformer et être aussi "fonction de l'eau que l'on a et de l'eau que l'on est" car on le sait tous, tout est question de vibration et de chimie et notre organisme pouvant s'acidifier naturellement (par x polluants, par le stress, par nos émotions négatives...). Nos schémas émotionnels peuvent venir perturber cet équilibrer chimique et vont donc perturber nos liquides intérieurs.


Pour intéragir avec ces flux liquidiens, on va venir éviter les carences en eau (éviter les inflammations et le stress), apporter une bonne qualité d'eau au quotidien en évitant les toxiques (nitrites, polluants chimiques, PET...) mais aussi en créant une eau "structurée" par un système de vortex dans une gourde en verre. Sans sa structure, l’eau est morte. En effet, de nos jours, l’eau est soumise à de nombreuses pollutions électriques et électromagnétiques qui déstructurent l’eau. Les infrastructures modernes sont pilotées par des courants électriques de forte puissance. Ces charges électriques se retrouvent malheureusement dans l’eau que nous consommons et utilisons chaque jour. Nos nappes souterraines sont complètement polluées par l’électricité. Ainsi, l’eau a perdu sa vitalité et ses qualités naturelles d’antan. Elle n’a plus de structure, d’organisation atomique. C’est une eau vulnérable aux proliférations bactériennes. L’eau structurée ou eau dynamisée est une eau qui a retrouvée ses qualités naturelles : une eau structurée est une eau dont l’organisation des molécules et des atomes est rétablie. Cette fonction est d’ordre magnétique. Je vous invite à aller voir la vidéo intéressante en cliquant sur ce lien :


La gestion des émotions

Nos émotions sont très impliquées dans la façon dont nous menons notre vie. Qu’elles soient un frein ou un moteur, elles sont au cœur de beaucoup de nos décisions. Parfois, nous avons besoin d’être plus raisonnables, et il faut alors savoir gérer nos émotions.

Nous savons tous ce qu’est une émotion : la joie, la peur, la colère, la tristesse sont autant d’émotions que nous connaissons tous un jour ou l’autre. Une émotion est un ensemble de variations épisodiques dans plusieurs composantes de l’organisme en réponse à des événements évalués comme importants par l’organisme.

Nos difficultés à gérer voire à accepter nos émotions, peuvent être de grandes sources de stress. C’est pourquoi, bien souvent, apprendre à gérer ses émotions doit s’accompagner d’une gestion du stress induit.

Apprendre à gérer ses émotions : moyens d’intervention

Le plus souvent, l’apprentissage de la gestion des émotions et l’acceptation de celles-ci passent par un travail sur la personnalité et les croyances. On pourra alors s’orienter vers la naturopathie (fleurs de Bach), une psychothérapie, une thérapie cognitivo-comportementale, ou un programme de développement personnel. Si l’émotion est source de stress, il sera important d’inclure la gestion du stress à la thérapie et on pourra d’ailleurs s’orienter vers d’autres thérapies comme la sophrologie, la cohérence cardiaque, le yoga, la méditation et la neuro-nutrition. L’hypnose thérapeutique peut aussi être d’un grand soutien pour apprendre à gérer ses émotions. Notamment, c’est une thérapie de choix pour les personnes atteintes de phobies.



Si vous souhaitez aller plus loin dans une démarche de mieux être, de désacidification de votre organisme, de réequilibrage de votre hygiène alimentaire/hygiène de vie.... n'hésitez pas à prendre RDV dans ma rubrique "réserver en ligne".

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